Frederic Beigbeder, notre asperge nationale



Frederic Beigbeder, par ou commencer ? Cette chose me repugne, physiquement et intellectuellement. Ses ecrits qui resteront à jamais dans les oubliettes de l'imbecilité me font vomir et rire à la fois ce qui est je l'avoue une sensation etrange. Cette "auteur" que Grasset, cette maison d'edition sataniste et complice de la mediocrité litteraire actuelle, publie vient d'avoir le prix Renaudot. Pour moi ce prix a aujourd'hui autant de valeur qu'un poil pubien ou une mycose vaginale. La veritable vocation du Renaudot est de gonfler les ventes d'artistes qui à l'instar de ne pas avoir de talent, ont des amis influents dans le monde du livre. Heureusement beaucoup d'entre nous ont compris la supercherie et savent que Fredo est l'imposture faite asperge cocainé. Ce qui me choque beaucoup c'est que certaines personnes ont été touchés (où ? surement près des sphincters à mon avis) en lisant le passage de sa détention fasciste dans un commissariat. Évidemment les zones de dégrisement de nos polices n'ont rien à voir avec le Fucking Blue Boy ou Frédéric exhibe fièrement sa culture et sa poudre au nez à des jeunes bourgeois débiles et bourrés au Champagne. Non il n'y a qu'une odeur de pisse et des inscriptions vulgaires sur les murs et tout cela résume très bien la carrière de Beigbeder : un homme enfermé dans l'immondice.

Alors que certains sont enfermés au trou pour moins que ça, ce bobo pistonné s'en sort à merveille et essaye de faire pleurer les routiers en racontant sa prise de conscience dans "Un roman francais", resumé hilarant de la vie ininteressante d'un mollusque se mouvant dans le Paris bourgeois. Là encore, personne n'est dupe, ce type veut nous faire croire qu'il est devenu trash et rebelle. A ce moment la, tout le monde l'est, ma grand mere qui essaye vainement de comprendre l'informatique, ma femme qui n'essaye meme plus de maigrir comme les autres dindes de son espece, ma couille gauche qui refuse toujours de rester bien à sa place, la liste est longue on peut trouver de la rebellitude partout. Pas chez Beigbeder : ce triste sire s'est auto-censuré dans son livre pour ne pas avoir de represailles avec un magistrat ou un procureur, on peut donc conclure que le courage ne l'étouffe pas.

Je ne reviendrais pas sur son physique nauséabond, rappelant les heures les plus tristes de notre histoire et surtout les plus grands films du siècle : "Éléphant Man, Les chimpanzés de l'espace et E.T"

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai comme l'impression que "Mike" n'est qu'un pseudonyme et que tu es en réalité Frederic Beigbeder. Vous avez le même style d'écriture et les deux une grande gueule. J'aime ça et je ne serais pas étonnée si vous étiez une seule et même personne.

Anonyme a dit…

En odorama, ton blog aurait l'odeur nauséabonde d'un pet bien gras d'un maton polonais bourré à la vodka et aux chips saucisses depuis 30ans.
Ca pue tellement que je vais être obligé de changer de pc

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