Les reves etranges d'un pervers antisemite

J'ai fait deux rêves, le premier était érotique pour ne pas dire pornographique. C'était très agréable et fort heureusement il n'y avait pas d'homme pret à me fourrer, d'animaux exotiques ou de sadomasochisme, ce qui me rassure sur une sexualité qui pourrait être refoulée. Ne vous méprenez pas, à l'inverse de la zoophilie ou du SM, je n'ai rien contre la gay-attitude, au contraire j'envie les homosexuels qui n'ont pas à se coltiner une dinde hystérique créée avec subtilité pour rendre la vie d'un homme infernale à l'aide d'une voix aiguë à souhait, une absence de logique et de rationalité permanente et le pouvoir de pondre des petites machines à déféquer, pleurer et crier à l'instar de leurs génitrices, je parle bien sur des enfants.

Mon deuxième rêve était bizarre, malsain même. Je n'ai pas un souvenir très précis mais en gros, Maurice Papon était mon père et je faisais tout pour lui plaire. Je ne jetais pas des juifs dans des trains rassurez vous, c'est très vague mais l'essentiel est là. J'ai essayé de comprendre, décrypter cet étrange songe, mais je n'ai pas réussi. Peut être cela vient il du fait que notre société à pensée unique passe son temps à accuser les gens d'antisémites lorsque l'on rit des sketchs de Dieudonné, qu'on soutient les Palestiniens, qu'on se foute de la Shoah comme de sa dernière branlette du soir (espoir) et que l'on s'en branle du voile autant que les kippas. Surement parce que je veux toujours penser par moi même au lieu de suivre le courant de ceux qui nous disent constamment où est le bien et où est le mal. Peut être. Si quelqu'un a une idée pour expliquer ceci, il est le bienvenu. En attendant, tout ce que j'espère c'est que mon dernier rêve ne soit pas une sorte de film à caractère pornographique avec comme acteurs : Hitler, Staline ou pire encore Beigbeder (Dieu m'en garde) en train de me ramoner la boite à Suchard dans un four crématoire, un goulag ou un capot de voiture saupoudré de cocaïne. Je ne souhaite ça à personne, sauf à Beigbeder bien entendu.